Visites et conférences
L’AML veut faire mieux connaître l’histoire lausannoise par des visites, conférences et projections de films tout en favorisant les rencontres et les échanges.
L’AML veut faire mieux connaître l’histoire lausannoise par des visites, conférences et projections de films tout en favorisant les rencontres et les échanges.
Rendez-vous : 16h45 dans la cour de l’Hôpital ophtalmique, av. de France 30
Accès : Accès : bus ligne 4 (direction Prilly Coudraie), arrêt Ecole de Commerce
Prix : CHF 5.-
Durée : env. 1h45, et selon vos possibilités
De la grotte de Lascaux aux hiéroglyphes, l’art mural a toujours existé, mais c’est plus récemment qu’il s’est affirmé.
Avec cette balade, nous partons à la découverte des fresques, trompe-l’œil, mosaïques et graffitis de l’espace public lausannois où des artistes formés ou autodidactes, aux styles bien distincts, ont laissé libre cours à leur imagination et ont donné des couleurs à nos murs.
Le parcours au centre-ville passera parfois dans des lieux méconnus ; il y aura quelques escaliers à descendre en début de visite, sinon le trajet est sans dénivelé important. Le départ a lieu à l’Hôpital ophtalmique, la visite passe par la rue de l’Ale puis l’espace du Flon pour se terminer au-dessous du pont Bessières.
Avec Mmes Fabienne Duffey et Stéphanie Smith, guides d’accueil MDA.
En cas de déluge, la balade est reportée au jeudi 2 juin, même heure, même parcours.
Rendez-vous : 16h45 dans la cour de l’Hôpital ophtalmique, av. de France 30
Accès : Accès : bus ligne 4 (direction Prilly Coudraie), arrêt Ecole de Commerce
Prix : CHF 5.-
Durée : env. 1h45, et selon vos possibilités
Rendez-vous : 10h45 au Musée Historique Lausanne
Accès : M2, bus 6, 7, 16, 66, arrêt Bessières
Prix : CHF 5.-
Durée : 1 h
En 1886, l’architecte nyonnais Gustave Falconnier dépose le premier brevet d’une brique de verre soufflé. Le matériau, traité comme un flacon creux hermétiquement bouché, est produit en série selon des méthodes artisanales par des verreries à bouteilles. Cette façon d’utiliser le verre est inédite dans l’histoire de la construction. Elle va connaître dès les années 1890 un succès aussi fulgurant et étendu que bref.
Les qualités pratiques et esthétiques de la brique Falconnier sont nombreuses. Elles s’inscrivent dans un contexte marqué par les théories hygiénistes tout en contribuant à l’utopie de la maison de verre. Distinguée lors des expositions universelles qui lui offrent une réception internationale, elle séduit d’éminents architectes de la fin du 19e et du début du 20e siècle (H. Guimard, L. Bonnier, A. de Baudot, A. Perret, H. Sauvage, H. P. Berlage,
Le Corbusier, etc.) qui l’associent souvent au béton armé, autre innovation de l’époque.
Gustave Falconnier et la brique de verre ou l’histoire d’un architecte-inventeur suisse et d’un matériau de construction étonnant, devenu rare, à redécouvrir et à préserver.
Avec Mme Aline Jeandrevin, historienne de l’art.
Le lieu peut accueillir 50 personnes, les inscriptions sont prises selon leur ordre d’arrivée.
Rendez-vous : 10h45 au Musée Historique Lausanne
Accès : M2, bus 6, 7, 16, 66, arrêt Bessières
Prix : CHF 5.-
Durée : 1 h
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A Lausanne depuis 1986, le Musée de la Machine à Ecrire présente l’exceptionnelle collection de deux mécaniciens passionnés, Charles et Jacques Perrier. Elle se compose d’un riche patrimoine Paillard Hermes, de machines mythiques des débuts de la production industrielle et de celles qui ont marqué le 20e siècle par leur utilisation quotidienne au bureau ou à domicile.
Dans le nouvel écrin du MMàE à la rue des Terreaux 18b, Jacques Perrier, en fin connaisseur de l’inventivité des ingénieurs, a partagé ses anecdotes et souligné aussi ce que doivent les femmes à l’introduction des machines à écrire dans les bureaux.
Avec M. Jacques Perrier, Président de l’association du Musée de la Machine à Ecrire.
Fondée en 1932 dans un but de soutien aux artistes et « d’embellissement de la ville », la Collection d’art de la Ville de Lausanne (CAL) témoigne de l’évolution de la création artistique locale depuis bientôt un siècle.
Après une présentation de l’histoire de cette collection regroupant plus de 1’700 œuvres de techniques, de dimensions et d’influences très diverses, sa conservatrice Chantal Rey, historienne de l’art, vous emmènera dans l’un de ses dépôts à la découverte d’œuvres insolites et de pièces-phares.
Inauguré en 1915, le collège de Montriond apparaît comme une école idéale à la pointe des avancées technologiques, sociopolitiques et pédagogiques, avec le défi d’éduquer, au sud de la ville, une population nouvellement urbaine. Une visée hygiéniste et paternaliste entraîne l’apparition de nombreuses innovations techniques encore visibles.
En 1914, ses premiers occupants ne furent cependant pas des écoliers… mais des réfugiés belges fuyant leur pays en guerre.
Floriane Nikles, enseignante à Montriond et organisatrice de balades citadines, ainsi que Nicolas Gagliarde, enseignant et sociologue de l’éducation, nous feront vivre, à travers cette histoire, celle de cet établissement scolaire particulier à bien des égards.
Sur le flanc sud-est de la colline de Montriond, ce jardin-musée a été conçu par l’architecte Alphonse Laverrière et le botaniste Florian Cosandey. Ilot de verdure ouvert à tous, il conserve diverses collections dont un herbier fort d’un million d’échantillons, des herbiers peints et une bibliothèque spécialisée en biologie végétale. Il est agrémenté de pièces d’eau, de rocailles, d’un arboretum et d’une orangerie.
Une serre tropicale riche de nombreuses plantes carnivores a été inaugurée en 2019.